samedi 24 mars 2012

DEMOCRATES ?




Des six personnalités, cadres hauts placés dans l’appareil d’un parti prétendument socialiste, dont j’étais parvenu à me glisser dans la longue cohorte des anonymes de leurs amitiés électroniques, sur le réseau Facebook, une ne m’a jamais accordé de publier sur son mur. Il n’y eut donc pas de problème avec celle-ci...

Deux, eurent tôt fait de me virer de leur liste d’amis, ne supportant pas mes remarques quant à la position de leur parti, sur l’affaire d’Iran.

Ces gens n’ont pas voulu entendre davantage, ce qui méritait pourtant de leur être dit. Car, contester à un pays d’acquérir, afin de la légitime protection de ses enfants, une arme que possèdent ses ennemis, et que ceux-ci menacent d’utiliser contre lui, ceci, en prétendant que la détention de cette arme par ce pays, constituerait une menace pour la paix mondiale, alors qu’il s’agit, sinon du seul, mais d’un des très rares pays qui n’a pas vu un seul de ses soldats hors de ses frontières, depuis plus d’un siècle, n’est pas intellectuellement, ni légitimement, soutenable.

Et ceci, surtout si cette prétention sur ce pays, est le fait de citoyens de cet autre, dont l’attitude belliciste a constamment maculé les pages de son histoire, qui par deux fois déjà, a entrainé par ses éternels conflits avec son ennemi héréditaire, notre humanité presque entière, dans deux redoutables guerres mondiales, et qui depuis les indépendances, a malgré cela, procédé à plus de quarante interventions militaires en Afrique, et procédé à d’autres ailleurs. Car cette fois, cette position n’est même plus moralement soutenable, de leur part.

Deux autres de ces personnalités, m’ont désormais supprimé la possibilité de publier sur leur mur, excédées qu’elles étaient quant à elles, par ma contestation de la position de leur parti, et surtout, par la dénonciation de son attitude après une opération, là où il s’agit en toute honnêteté d’en faire le bilan, concernant les guerres de Côte d’Ivoire et de Libye, que celui-ci a soutenues de façon totalement irresponsable.

Pour les avoir déjà abondamment traités ici, je passerai sur tous les aspects politiques de ces affaires, et sur les arguments par lesquels ces conflits furent justifiés, en admettant que des hommes, même de bonne foi, peuvent se tromper, même si en l’occurrence, l’erreur aura été monumentale, avec des conséquences catastrophiques.

Mais, il n’est absolument pas possible d’admettre, ni à la face des hommes, ni à la face du ciel, que des gens qui ont donné leur accord à des opérations militaires, prétendument pour la protection de civils, pour le respect de la démocratie, et pour la paix, ne se préoccupent absolument pas, alors que le coup humain de ces opérations ayant fait dans les deux pays, plusieurs dizaines de milliers de morts, aura été aussi lourd, en plus de tous les équipements dévastés, de vérifier si ces opérations ont produit ce qui en était attendu.

Au nom de tous les sacrifiés, il était de l’obligation morale absolue pour tous ces politiques qui en ont décidé, de vérifier si par ces opérations militaires, les civils furent protégés, ou s’ils furent plutôt massacrés, si la démocratie fut établie, ou si ce fut plutôt le champ libre donné à la terreur de chefs de guerre, et si la paix fut rétablie, ou si c’est plutôt une ère d’instabilité durable, qui fut instaurée, nous promettant d’autres cortèges d’horreur.

Mais ces gens qui ont décidé pour d’autres, dans des pays lointains, n’en ont cure de tout cela, alors même qu’ils se présentent à nos suffrages, pour être investis des plus hautes responsabilités. Fumistes...!

Ainsi, la démocratie selon ces gens ne supporte pas le débat contradictoire, surtout entre gens supposés être du même bord, car là, c’est la ligne incontestable du parti, comme aux plus belles heures du stalinisme triomphant, qui constitue une fois pour toutes, leur vérité. Les réseaux sociaux ne sont donc pas pour eux, les occasions d’échanges d’idées avec les citoyens, et par là, de controverses constructives, mais simplement le lieu de leur mise en scène narcissique, où des hordes d’idolâtres serviles, procèdent à leur célébration, à longueur de fadaises insipides, et indignes d’humains normalement doués de raison...

Voici où nous en sommes avec cette gauche d’irresponsabilité politique, pour laquelle les slogans ont désormais remplacé les arguments, et dans laquelle une solidarité clanique, bornée, et obsédée, amène des citoyens bien pensants, à déclamer avec force leur bréviaire, pour ne pas avoir à entendre les cris de ceux qu’on assassine au nom même de leur protection, au nom du progrès, et au nom de la démocratie. Foutaises...!

Ceci, à l’heure où ceux de l’autre clan quant à eux, n’hésitent pas à avoir recours à la manipulation criminelle, pour pouvoir se remplir les urnes, avec le soutient d’une industrie médiatique du mensonge, et en faisant appel aux plus bas instincts, pour s’attirer la faveur électorale, de hordes de gens humiliés et sans espoir.

Il y a donc urgence, avant de sacrifier au rituel électoral, censé exprimer la volonté du peuple, mais qui est en réalité, celui par lequel nous nous préparons à accorder à ceux qui sollicitent nos suffrages, et de quelque bord soient-ils, autorité sur nous, à redéfinir une bonne fois, ce en quoi consiste exactement, ce que nous ne concevons que confusément, mais que cependant nous continuons par nommer religieusement, la “Démocratie”. Ceci, avec la conviction, d’ailleurs jamais démontrée, que nous en constituons bien une.

Car, si nous sommes dans une authentique démocratie, nous seront amenés à conclure que s’il eut ses heures de gloire, ce système qui n’a pas davantage vocation à l’éternité que n’importe quelle autre de nos institutions humaines, à atteint il y a longtemps déjà, la limite de sa positivité, et que son maintien désormais hors de son “ère historique d’efficacité”, a conduit à sa “perversion”, logique, et inévitable.

Il nous faudra donc constater son actuelle nocivité, et il ne suffira pas d’y opposer le constat d’autres plus mauvais, qui demeurent encore, selon la formule célèbre mais un trop facile : “c’est le pire des régimes à part tous les autres”, pour nous contraindre à nous y résigner.
Non, il nous faudra bel et bien selon ce constat, nous mettre en quête pour définir enfin, une façon bien plus positive d’être et de coopérer les uns avec les autres, qui soit digne de notre époque, et en phase avec ses réalités...

Ainsi, contrairement à ce que proclamait il y a quelques années, ce monsieur Fukuyama, nous sommes bien loin de nous trouver à la fin de l’histoire, ce qui n’a d’ailleurs aucun sens, et il appartient désormais aux “progressistes”, aux vrais, de rouvrir le vaste domaine de l’imaginaire, qui s’est trouvé bouclé durant toutes ces années d’obscurantisme politique dogmatique, pour trouver une succession à notre démocratie, visiblement atteinte par la limite d’âge...


Paris, le 24 mars 2012
Richard Pulvar

COMMENT EN AURIONS-NOUS DES PREUVES ?




Dans un article précédent publié ici même et intitulée : “ Quand il ne reste plus à l’impopulaire, que de tenter le populisme... ” je faisais part de ma forte suspicion du fait que la triste affaire de Toulouse, loin d’être ce simple fait divers tragique, tel qu’on veut nous le présenter, commis par un jeune exalté et islamiste, et bien sûr, “connu des services”, était plus vraisemblablement, le résultat d’une sordide et cynique “machination”. Ceci, en vue d’un événement, notre élection présidentielle, dont les implications seront considérables, tant sur le plan national, que sur le plan d’une politique internationale, dans laquelle certains aimeraient voir notre nation, mise au service de leur prétention hégémonique.

Des amis m’ont alors interpellé, pour exiger de moi que je fournisse des preuves de mon assertion. Je vous fais part ici de la réponse que je leur adresse.

Chers amis comme vous y allez...! Des preuves...?

Comment pensez-vous qu’il est possible d’en donner dans de telles affaires, sauf à croire que les services ont la négligence d’en laisser trainer partout ? Soyons sérieux...!
Tout ce qu’il nous est possible de faire au niveau qui est le nôtre, c’est de construire à partir d’éléments tenus pour authentiques, un schéma des événements que par sa cohérence, nous pouvons prétendre plus probant que tous les autres, et c’est bien tout. Mais, même si d’évidence, cette conclusion semble incontestable, nous n’aurons pour autant jamais de preuve de quoi que ce soit.

Qui peut prouver de façon incontestable, que Oswald fut bien l’assassin de Kennedy ?

Même ce monsieur DSK qu’on a pourtant pris la main dans le pot de confiture, s’en est tiré faute de preuve du non consentement de sa victime, que seule, une analyse, qui sera peut-être dans notre capacité de faire dans les temps futurs, de son encéphale, pour y trouver les traces mémorisées de son refus, aurait pu constituer. Car même si des caméras et des micros avaient enregistré sa lutte pour se dégager, il aurait toujours été possible de dire, et certains ne se sont d’ailleurs pas privés de le faire à l’occasion, qu’il s’agissait là d’un jeu sexuel consenti entre eux.

Abandonnons donc cette exigence de preuves impossibles à fournir, pour nous concentrer sur la logique et l’intelligence des choses. Ceci, afin d’en établir les cohérences et les incohérences, qui orienteront la compréhension que nous en aurons, plutôt que de nous contenter de “l’information” forcément “traitée”, quoique pourront proclamer certains quant à la liberté de la presse, laquelle ne constitue une réalité, que quant cette presse se trouve en parfait accord avec le pouvoir quel qu’il soit, comme c’est le cas dans notre pays.

A l’origine de ma suspicion, le fait que ce schéma par lequel une “crise opportune”, par “l’heureux dénouement” de laquelle des politiciens en perdition, ont sauvé leur mise, fait partie des grands classiques de la manipulation, et constitue un exercice parfaitement maitrisé par les services. Je tâcherai de vous en collecter suffisamment d’exemples, autres que ceux déjà cités, pour vous le montrer.

Une difficulté réside alors dans le fait qu’il est difficile d’évaluer, si ces initiatives sont le fait des politiques eux-mêmes, ou de puissances financières, voire étatiques étrangères, qui, ayant intérêt à ce que ceux-ci soient maintenus ou défaits, manœuvrent les services. C’est ce qui vaut d’ailleurs à ces services, d’être constamment tenus pour suspects, par les politiques.

Il sera donc difficile de savoir si c’est “l’agité” du Palais lui-même, qui a commandité ce “coup”, s’il a simplement fermé les yeux sur ce qui se préparait par ceux de son clan, ou si ce sont d’autres, peut-être même étrangers, pour lesquels il est essentiel qu’il soit maintenu en cet endroit, pour éviter que ne s’y installe un autre, qui menacerait leurs intérêts.

J’avoue que je fais mienne pour partie, la thèse de Monsieur Meyssan, parce que j’en “pressentais” moi-même certains aspects, sans bien sûr pouvoir l’établir aussi magistralement, ne disposant pas de la même documentation, bien avant de prendre connaissance de ce travail. Cet homme a été totalement conspué par nombre de ses collègues, qui se sont appliqués à décortiquer à la loupe le texte, pour y trouver et dénoncer bruyamment, les approximations ou inexactitudes inévitables sur un travail de cette nature, mais qui ne concernent pas l’essentiel, et ceci, pour pouvoir dénier ensuite la cohérence globale de l’argumentaire, qui est ce qui nous intéresse ici, par delà ses imperfections.

Bien sûr, je n’irai pas jusqu’à prétendre comme il le fait, que “agité” est un agent de services étrangers. Mais, il est certain qu’alors qu’il ne bénéficiait pas d’une réelle notoriété dans son propre parti, au sein duquel s’était même constitué un mouvement du “tout sauf lui”, c’est bel et bien par une campagne médiatique sans pareille, par la publication de sondages de “commande”, et par un travail au corps des “barons” du mouvement, opérations qui relèvent classiquement de la compétence des services, qu’il a pu être présenté comme étant le seul à pouvoir battre une candidate de la gauche, qui n’avait pourtant rien d’un redoutable tribun. Ceci grâce à une pugnacité dont les mêmes manipulateurs, lui avaient fait à bon compte la réputation.

C’est par cette manœuvre de totale mystification, qu’ils sont parvenus à convaincre nombre de militants, de mettre un chapeau sur leur fierté, et de préférer vaincre avec un mauvais, plutôt que de courir le risque de perdre avec un digne. Ainsi va notre époque…

Le second volet de cette manipulation a été de convaincre ceux de cette gauche eux-mêmes, que cette femme inconsistante, qui parvenait à dire trois bourdes en deux mots, l’emporterait sur sa seule qualité de femme, comme marque de la maturité de la démocratie française qui à ce jour, n’a jamais porté une femme au pouvoir. Nous connaissons la suite...

Deux éléments rendent très probante la thèse de l’ingérence dénoncée par Meyssan. Tout d’abord la personnalité même de l’agité, inculte, fier de l’être, brutal, narcissique, méprisant, envieux, insatisfait, raciste, complexé de porter un nom à manger de la goulache, et qui a d’évidence, un problème avec les femmes. Que peuvent trouver de mieux les gens des services, pour pouvoir “piloter” leur objet, qu’un tel polichinelle. Car, une fois qu’on en a flatté le narcissisme pour le mettre dans de bonnes dispositions, on le met dans les conditions d’expressions prévisibles, même de ses pulsions, grâce à un encadrement de “conseillers”. De ce point de vue, tout homme humble et de raison, se contentant de peu, constitue au contraire, un empoisonnement pour ces services...

L’autre argument, plus déterminant celui-là, pour accréditer la thèse d’une marionnette manipulée, est tout simplement, tel que nous pouvons le constater, le résultat catastrophique pour notre nation, en terme de perte d’indépendance et de souveraineté, de cette politique qui nous a totalement “vassalisés” à une puissance étrangère. Ceci, de sorte qu’on peine à croire qu’il ne s’agit là, que d’un heureux “coup de pot”, pour celle-ci.

Ainsi, après que nous ayons été engagés dans une guerre que beaucoup comprenaient perdue d’avance, en Afghanistan, et dans laquelle nous n’avions strictement rien à y faire, notre nation et son armée se trouvent maintenant prêtes à être engagées, et en première ligne, pour le compte d’intérêts qui non seulement ne sont pas les nôtres, mais s’opposent même aux nôtres, dans une guerre qui promet d’être dévastatrice au proche orient. Ceci, sous la conduite de l’agité qui pour l’occasion, et depuis sa croisade libyenne, se rêve “généralissime”. Mais cette autre aventure, ne nous laissera aucune chance, ni sur le plan extérieur, et surtout pas sur le plan intérieur. Car il est clair que, compte tenu de la diversité des opinions à ce sujet, aucune unanimité ni union sacrée, ne se fera pour cette occasion.

Il faudrait bien sûr développer, argumenter, et surtout documenter, bien davantage, pour pouvoir justifier correctement ce point de vue, en rappelant tout d’abord la thèse de Meyssan, lequel n’étant d’ailleurs pas le seul sur cet axe de recherche, loin de là, n’a pas du recevoir que de simples critiques ou railleries, pour sa dénonciation, puisqu’il semble avoir été contraint depuis, de se réfugier à l’étranger.

Mais, je ne le ferai pas pour l’instant. Ceci, non pas faute d’arguments car nous y reviendrons, mais tout d’abord parce que construire afin qu’il soit pleinement convaincant, un tel dossier, demande comme vous pouvez bien l’imaginer beaucoup de temps, puisque ceci ne se fera pas en dix lignes. Une autre raison, c’est qu’il est encore trop tôt pour le faire. Car, compte tenu de la proximité de l’événement, il vaut bien mieux observer maintenant, quels seront les prolongements et les conséquences de cette opération, d’ici à l’élection, ce qui permettrait éventuellement d’inscrire ces derniers, dans la logique de la “machination”. Ceci permettra, soit de montrer la pertinence des arguments déjà proposés, soit tout au contraire, et par extraordinaire, de les infirmer, mais cela j’en doute. Car, en tout état de cause, si par le plus grand des malheurs, l’agité présentant un bilan aussi catastrophique et que nul n’ignore, se trouve malgré tout reconduit, la messe aura été dite, quant à cette machination.

Rendez-vous donc après l’élection, pour un plus grand développement...


Paris, le 22 mars 2012
Richard Pulvar

QUAND IL NE RESTE PLUS A “L’IMPOPULAIRE”, QUE DE TENTER LE “POPULISME”, CETTE ANTICHAMBRE DE LA DICTATURE



Aux dernières nouvelles, et à l’heure où ceci est écrit, il semblerait que le tueur fou présumé de Toulouse, ait été abattu, ou “suicidé”, par les forces du RAID.

S’est donc réalisée, la pire hypothèse de dénouement de cette affaire, évoquée dès hier, et concernant laquelle je vous disais qu’il ne serait pas nécessaire d’en dire plus, parce que dès lors, nous saurions tous parfaitement quoi penser de toute cette sordide affaire.

Cet homme encerclé, et dont il est clair qu’il finirait par avoir faim et sommeil un jour, et dont le siège n’aurait pas manqué d’avoir raison de lui, ne présentait plus comme tel aucun danger, sauf contre lui-même...

Si donc l’intervention à été menée pour éviter qu’il ne mette lui-même fin à ses jours, il est manifeste que l’opération à totalement échoué. Mais plus probablement, il s’agissait certainement d’en finir. Car dans l’hypothèse la plus certaine d’un paumé manipulé, il n’était pas question qu’il puisse demeurer en vie, et cette mort tendrait à confirmer cette hypothèse. Mais observons également qu’une opinion publique tenue en haleine, attendait aussi “elle”, qu’on en finisse, avec celui qui ne fut pas loin d’être présenté comme un Hitler en herbe.

Mesurons bien toute la gravité de cet événement, qui ne demeure l’acte isolé d’un paumé raciste et exalté, que pour les “téléspectateurs”, lesquels sont, comme nous le savons, bien au fait de toutes ces questions, et de tous leurs aspects, grâce aux éclaircissements qui leurs sont abondamment apportés, par la noble classe politico-médiatique…

Dans cette campagne électorale humiliante pour notre nation, et dont les protagonistes s’en vont à la pêche aux arguments, au fond des caniveaux, puisqu’il ne leur est plus possible de trouver quelque chose à dire quant à la “chose publique”, dans la mesure où celle-ci n’existe justement plus, ses institutions ayant été mises totalement au service d’intérêts particuliers, il fallait bien s’attendre à ce que ce serait désormais par l’émotion, la vindicte, la haine, le ressentiment, l’ostracisme, la suspicion, l’accusation, le dénigrement, et la flatterie des gogos de la France bien pensante, que le débat allait être mené...

Soyons bons joueurs, et reconnaissons à ces faussaires et manipulateurs, que leur coup constitue un “coup de maitre”, d’une efficacité d’autant plus remarquable, qu’ils semblent avoir parfaitement mesuré, pour en avoir été la cause, l’état de déliquescence morale totale, dans lequel la population de ce pays à sombré, ce qui la rendait parfaitement malléable, pour pouvoir épouser toutes les esbroufes, seraient-elles criminelles...

Souvenez-vous, si vous m’avez fait l’honneur de me lire. Dans un article publié ici même il y a quelques temps seulement, et intitulé “ la commerce de la sottise et de la honte”, je vous disais que loin d’avoir principalement le sort des immigrés pour objet, puisqu’ils n’intéressent personne, toute la manipulation consistant à solliciter, en prenant les mœurs réelles ou fantasmées de ces immigrés pour prétexte, le bas ventre et les bas instincts des Français, n’avait comme finalité que de parvenir à assouvir ce peuple français lui-même...

Hé bien nous y sommes...!

Voici comment un homme, que nous savons maintenant “fabriqué” de toutes pièces, par les services secrets d’une puissance étrangère, auxquels il doit d’être parvenu à la plus haute responsabilité de notre pays, pour pouvoir engager la nation dans des dispositions tout à fait opposées à ses intérêts et à son indépendance, et qui, condamné par un bilan catastrophique, et enterré par les sondages, vient, par une manipulation criminelle dont le fait ne peut échapper qu’aux gogos, se faire passer pour le rempart contre des français rendus douteux par leur origines. Et ceci, après que fut savamment organisée une campagne mettant en cause, jusqu’aux règles alimentaires de la religion de ceux-ci.

Ainsi, cet homme dont les Français excédés, ne voulaient plus, risquent-ils désormais de le reconduire, au prix de la soumission définitive de notre nation aux puissances d’argents, et au lobby malfaisant, qui le missionnent, parce qu’il a su très habilement, avec un cynisme et une détermination diabolique, les attraper par les tripes et par les couilles...

Si ce plan aboutit, c’est alors que s’ouvrira l’heure d’une dictature de la pire catégorie, c’est à dire de celle dont les victimes, acclament leurs bourreaux...


Paris, le 22 mars 2012
Richard Pulvar